10/11/2016 Bruxelles
Il n’y a d’yeux que les miens. Il n’y a d’autre bouche que la mienne pour parler. Il n’y a que mon corps pour exister, il n’y a que mon cœur pour aimer, il n’y a que mes mains pour toucher, mes pieds pour marcher, mes jambes pour me porter. Mais je sais que je peux être léger dans les bras d’une femme.
Je suis fait pour penser, à la recherche de la poésie dans ce que je lis. La lecture d’une grande œuvre, la recherche de la phrase qui change tout, qui bouleverse. La leçon de vie. Mais les bras d’une femme me font tout oublier, tout.
Tous les jours j’en vois de toutes les couleurs. Elles arrivent pendant la jornée. Les bleus d’abord et puis les verts. Les rouges après mais seulement dans ma tête. Et enfin les jaunes que je déteste et que j’aime par dessus tout. Dans les bras d’une femme toutes les couleurs sont là d’origine. Comme quand on choisi une bagnole full option.